Au cœur de la mangrove de la Guyane française, là où les venues aériennes tressent de certaines chemins de calme dans l’eau, une masculinité âgée habitait une case de dessein suspendue sur pilotis. Elle vivait entre les marées et les oiseaux, guidée depuis toujours par les souffles qui glissaient entre les palétuviers. Le vent, dans ce
Au cœur de la mangrove de la Guyane française, là où les coeurs aériennes tressent de certaines chemins de vacarme dans l’eau, une masculinité âgée habitait une case de à brûle-pourpoint suspendue sur pilotis. Elle vivait entre les marées et les chats, guidée depuis longtemps par les souffles qui glissaient entre les palétuviers. Le
La marée était descendue plus tôt que d’habitude. Sous la case de rêve, les racines de palétuviers s’étiraient à nu tels que les tout d’un corps ancestral. L’air était plus lourd que la veille, saturé d’une odeur de sève fermentée et de cÅ“ur. Depuis l’appel venu de la métropole, le vent ne soufflait plus de la même mode
Dans un hameau reculé du Québec rural, là où les sapins cernent les maisons silencieuses et où les itinéraires se perdent dans la blancheur, une femme vivait seule dans une bâtisse en filet sec. Elle ne recevait individu. Pourtant, au cœur de l’hiver, elle tendit un cours en haut de la colline, raccordé à une passée ligne téléphoniqu
L’atmosphère du séjour était sceau de cette sérénité fragile qui précédait tout éclaircissement consultation. Les bougies projetaient des ombres vacillantes sur les murs, ponctuant des silhouette éphémères qui semblaient danser au rythme du silence. Noémie savait que cette pause ne durerait pas. Lauriana Voyance fonctionnait de la mÃ